Une Dreamteam heroïque !

Pour la reprise du championnat, la Dreamteam devait déjà faire face à de gros problèmes d'effectif. En effet, malgré la convocation de 12 joueurs, nous étions que 10 présents et c'est même à 9 que nous avons du jouer après le forfait de Chapeg blessé au mollet.
C'est donc 9 "guerriers" qui entrèrent sur le terrain la rage au ventre ! Le match débute très bien pour la dreamteam qui, en restant bien en place, repousse bien les assauts adverses et obtient même de nombreux coup de pied arrêtés. Et c'est sur un corner de Ménel que l'inévitable Matose reprenait de volée pour ouvrir le score vers la 25e min. 1 - 0 !!
On se disait alors de bien rester en place pour maintenir cet avantage le plus longtemps possible mais dès l'engagement, sur un centre apparemment anodin, David ne pouvait que repousser le ballon qui par malheur atterrit sur le genou de Martin venu couperle ballon finissait alors au fond des filets. Rageant !
La 1ère mi-temps continuait sur la même physionomie où les joueurs d'Agen avaient le ballon sans pour autant se créer de réelles occasions.
Au cours de la 2ème mi-temps, la fatigue était de plus en plus importante et l'ICB reculait alors beaucoup plus concédant 3-4 grosses occasions non converties par les attaquants adverses qui ne trouvaient pas le cadre. La dremteam pliait mais sans rompre grâce à "la gnac et l'envie "de tous !!
La physionomie du match changeait pour les 10 dernières minutes où l'ICB tentait le tout pour le tout. Sur une passe de Ménel, la mobilette Rouquette se présentait même seul face au goal adverse mais ce dernier sortit la parade. Vianney voyait lui aussi sa frappe lontaine sortie du bout des doigts. On avait alors droit à une succession de corner en notre faveur et sur l'un d'entre eux matose s'arrachait et sa frappe déviée s'écrasait sur le poteauon venait de froler l'exploit !
Le match se finissait alors sur ce nul 1 partout !
Un super résultat vu le contexte, obtenu "au courage" par les 9 présents.
En espérant que ces problèmes d'effectif ne se reproduisent plus

Par Martin ROUMEGOUS