Fin de match catastrophe...
Cela devient une mauvaise habitude, les premiers quart d'heure sont toujours aussi difficile pour pour les Bezonnayres ! En effet, la dream team peine à trouver ses marques et se fait peur quand une frappe de l'adversaire vient s'écraser sur la transversale.
Après ce coup de chaud, l'ICB commence à imposer son rythme mais difficile de produire un jeu de qualité quand l'adversaire ne répond que par des fautes. Plusieurs coups franc sont donc sifflés et notre première occasion viendra de Cyril sur un très bon coup de pied arrêté mais pas suffisant pour tromper le gardien. La fin de la première mi-temps approche et le score est toujours figé et ne bougera pas.
0-0 à la mi-temps.
C'est reparti pour 45 minutes qui, on le sait, vont être difficile vu le peu d'effectif que nous possédons. C'est donc Jeff qui remplacera Miki un peu avant la première mi-temps suite à une douleur récurrente contracté la saison dernière. L'ICB ne baisse pas les bras et continu dans sa lancée jusqu'à ce que l'arbitre local siffle un pénalty imaginaire... Mais David repoussa le tir.
Le jeu commença à se durcir avec des fautes de plus en plus nombreuses des deux cotés et de plus en plus discutées par les adversaires. A croire que l'on aura passé plus de temps à attendre que les locaux finissent de taper la causette avec l'arbitre que de jouer au ballon. Est-ce que cela nous à déconcentré ou pas ? Toujours est-il que le premier but des locaux arriva sur un coup franc indirect où nous n'avons pas su tenir le marquage. La suite du match est alors incompréhensible et l'on encaisse trois autres buts quasiment d'affilée sur contre. Le coup de sifflet final retenti. 4-0, une addition très salée à la vue du match produit et qui aurai pu basculer en notre faveur en première mi-temps mais le travail accompli par l'équipe n'aura pas payé.
A nous de tirer les leçons de ce match notamment en résolvant ce problème récurrent d'effectif. Néanmoins il faut retenir une superbe solidarité et envie entre les joueurs.
Prochain match contre Sainte Geneviève à la maison : on sait ce qu'il nous reste à faire.....
Par Julien DOUZOU