Chaud bouillant !!!

Match à enjeux pour Souyri qui cherche a se sauver de la descente et bezonnes qui veut remonter au classement. L'arbitre désignait par tirage au sort donnera souyri gagnant.

Bon début des Bezonnois, qui pose le ballon et montre une supériorité en combinant bien notamment côté droit avec Aurélien Guibert et Paul Auguy qui débordent toutefois sans succés. Quelques corners et des frappes contrées viennent valider cette domination.
Les dernières 20 mn vont être plus équilibrées avec des incursions plus régulières de souyri dans le camp de Bezonnes arrêté en général aux 20m, avec 2 coups francs mal négociés par les locaux.
Pour cloturer la 1ere période, Cédric Garcia aura une occasion en or sur un ballon en profondeur, il élimine le gardien par un crochet mais frappe du gauche à côté.Autre mauvaise nouvelle aurélien se claque à la cuisse et doit sortir.

La deuxième partie sera moins belle mais plus folle. D'entrée de jeu, le n° 9 adverse vient cartonner Brice Baudy qui sortait à son encontre dans ses 18m.
Les esprits s'échauffent et l'arbitre donne forcément raison aux siens. D'ailleurs souyri profite bien de la déconcentration de nos joueurs, nous contre et sur un ballon en profondeur axial le n°11 vient battre Brice. Le must va venir sur un coup franc axial et le n°8 adverse clairement hors jeu tend le pied dos au but et met le ballon dans la lunette !!
Coup du sort terrible à l'heure de jeu. après 75mn de jeu équilibré mais hâché, Bezonnes va revenir par un centre côté droit qui tombe dans les 6m sur Benjamin Durand qui subtilement la met dans la course de paul qui fusille le gardien.
Reste moins de 10mn a jouer, Cyril Bernard se fait expulser pour mots envers l'arbitre en même temps que le 8 adverse. Ensuite la rage de ne pas perdre va faire que l'ICB attaque sans relâche, Paul frappe 2 fois, le gardien sauve les siens mais après un cafouillage aux 18m, le vieux renard de Néné catapulte une fusée du gauche dans le petit filet avec toute la rage qui le caractérise.
90eme mn !!! l'arbitre arrête le match sans doute écoeuré par l'égalisation.

Par Philippe VIRENQUE